Même si cette question paraît anecdotique, elle causa bien des remous car effectivement, dans la pratique, les routes jusque ici cantonales deviendraient alors des routes communales, puisque englobées dans le « nouveau périmètre communal », avec tous les frais qui en découlent (entretien, déneigement, extensions, travaux, etc.). Interrogé sur ce point précis, le conseiller d’Etat Fernand Cuche y a apporté des réponses pratiques.
Extrait du rapport du Comité de fusion, janvier 2007 :
« Après consultation expresse des autorités cantonales, il est acquis que dans le réseau actuel de routes cantonales demeurera cantonal même après la fusion, comme routes principales et de liaison et routes collectrices desservant les villages de la nouvelle commune. (Réponse de M. Fernand Cuche au Grand Conseil, 29 mars 2006 et lettre du Service des ponts et chaussées, 20 avril 2006). Ce problème annexe, promptement réglé, illustre toutefois l’incroyable complexité du projet de fusion des onze communes. Un seul élément, au surplus relativement anodin dans son expression, est à même d’entraîner une cascade de conséquences d’importances diverses mais qu’il convient de relever. »